Agression de monsieur Grigor au Mnibet

Monsieur Grigor, selon une lettre fait au Président de la république, a été agressé et est passé proche de mourrir alors qu'il a été accepté et reçu au pays:

Voici la lettre de monsieur Grigor:

Citation :

La lettre contenait deux sections un pour le vote et une autre destiné au Président de la république:

Je tiens a vous dire deplus quelques mots a propos de mon voyage au Mnibet. Les temps présents présents sont dure. En effet je me suis fait traité d'Assassin et faillit passer au sabre mais je tiens a vous dire que je vais tres bien. C'est la garde personnel de l'Outramayara qui a empêché une mort certaine. Je lui en remercie. De plus je tiens a dire que c'Est grâce a Monsieur Chaintaya Chinmay si j'ai pu etre accepté aussi vite il m'A blanchi de tout supcon que les Mnibetains avait contre moi. A mon retour je crois bien de lui donné la médaille du Service rendu au pays par ces actes pronant la paix.

Alors je suis rendu au point où je dois être l'objet d'une enquête pour je ne sais trop quelle raison mais je vais attendre patiemment. D'ici un moi stout devrai rentrer dans l'ordre.

Mes salutations les plus cordial

P.S. Pardon pour les fautes, je n'ai jamais été bon dans l'écriture.

Premièrement en quoi ose-t-il traité un diplomate d'une nation qui veut se réconcilier d'assassin sans aucune preuve et ceci n'est rien d'autre qu'une tentative de meurtre et nous aimerions savoir qui l'a fait pour qu'il ne puisse plus avoir accès à notre pays.

Finalement, sur un ton plus joyeux, nous devrios remercier les autorités Mnibétaine pour avoir accueillis le diplomate malgrée la tension entre nos deux pays et aussi nous devrions remercier les autorités pour avoir empêché cet assasinat qui aurait eu des conséquences désantreuses sur nos relatios avec le Mnibet.

Suite à cette agression, j'aimerais que l'on demande des précisons sur ce qui c'est passé et que l'on prenne une résolution.

Tout est régler pourquoi jeter de l'huile sur le feu quand il n'as pas de feu.
Les autorités de se pays à régler la question.

Sérieusement, ce que les autorités de ce pays ont fait je m'en fou ce que je veux savoir ses pourquoi et aussi j'aimerais que l'on remercie les autorités impériales pour avoir sauvé notre diplomate.

J'aimerais que l'on m'accorde le droit de m'exprimer en ce lieu, étant donné que je suis le mieux renseigné sur le Royaume du Mnibet et son fonctionnement.

Raspoutine Mirov, totalement surpris de l'entré abrute de monsieur Chinmay, regarda le président assis sur sa chaise d'une manière surprise et dit à ce dernier:

Je n'ai pas de problème sur ce point et qu'en pensez-vous?

Très bien, qu'il parle mais attention chinmay, ce n'est qu'une exception.

Bien, je vous remercie.

Tout, d'abord, je voudrais faire remarquer un léger lapsus : " les autorités impériales". Or, ce sont les autorités royales. Mais venons-en au fait.

M. Rastatopoulos ne risquait pas la mort, mais sans aucun doute une mutilation, probablement l'amputation de la main, qui est un châtiment judiciaire trés courant au Mnibet. L'auteur de cet acte est un Seigneur Cantonal, c'est-à-dire l'un des nobles ayant un pouvoir et un influence trés forts, il n'a de compte à rendre qu'à Sa Majesté.

Citation :

"Premièrement en quoi ose-t-il traité un diplomate d'une nation qui veut se réconcilier d'assassin sans aucune preuve"

M. Rastatopoulos n'est pas considéré comme diplomate pour l'instant, mais comme touriste. Il a été traité d'assassin car son pays, Ukvos, a menacé d'invasion le Mnibet.

La Garde Royale a sauvé M. Rastatopoulos car le Seigneur voulait faire sa Justice en des terres sur lesquelles il n'a aucune autorité, et non pas par pure bonté d'âme car dans d'autres circonstances, c'est-à-dire sur les terres du Seigneur, ils n'auraient rien pu faire sans un ordre direct de Sa Majesté. Il n'est donc pas utile, du moins je pense, de remercier les Gardes Royaux car ils n'ont agit que pour faire respecter l'autorité Royale.

Je souhaite que M. Rastatopoulos ne s'égare pas dans le Canton de Rusham.

Voici les quelques précisions que je désirais apporter, et je suis prêt à en apporter d'autres si vous le désirez.

Dans ce cas, je crois que les relations diplomatique avec ce pays sont impossible, je crois que notre nation est bien trop différente de la leur et je suis beaucoup trop en désacors avec leur manière de faire de la justice, et leur manière de gouverner leur peuple. Je crois que le début de ce conflit vient du fait que nous ne sommes pas une monarchie et que nous sommes socialiste, cela me donne encore plus envie de faire valloir ces idées politiques dans tout le micromonde.

Raspoutine Mirov quitta la salle désespéré et en colère de la façon que ça se passe dans ce pays et panssant que de toute façon nous ne pouvons rien faire puisque notre culture ne compte pas et que la leur selon monsieur Chinmay est telement importante.

Monsieur Mirov qui a attendu monsieur Chinmay crier dans son dos reveint tout calme et dit:

Non, vous n'avez pas essayer de nous faire comprendre quelque chose vous avez essayer de défendre l'indéfendable en plédant la différence culturel et je vais vous dire queque chose notre gouvernement, au moins, a essayé de faire queleque chose.

Il repartit laissant là Chinmay rouge de colère.

Monsieur Mirov reveint encore une fois bien calme et dit:

Je crois que nos différences ne doivent pas empêcher d'avoir des relations diplomatique et que si le Mnibet et vous même être trop arriérer pour le comprendre nous irons demander ailleurs.

Je suis un arriéré ? Moi qui ait voyagé à travers le monde, rencontré toutes les cultures, étudié des peuples et des pays ? Vous ne comprenez toujours pas qu'un autre pays ne pense pas comme le votre. Ce n'est pas moi qui ai refusé des liens entre le Mnibet et Ukvos, je vous signale. Alors ne m'accusez pas que des relations n'ont pu aboutir.

Encore une fois bien calme monsieur Mirov répodit:

Je comprends très bien qu'on ne pense pas comme nous, mais ce qui est frustrant et insultant c'est quand on arrive dans un pays (je n'en vise aucun) avec de bonne intention, tout ce passe bien et finalement un qui se dit le chef vous injure et refuse toute diplomatie sous prétexte que vous êtes différent. Ça revient à dire qu'il s'agit d'un manque d'ouverture d'esprit et que le pays est rester isoler trop longtemps et est arriérer dans sa façon de panser. Si j'ai dit que vous étiez peut-être arriérer c'est que vous prétendez que c'est de notre fautes il qu'il n'ont rien fait de mal sous le faut prétexte de la culture.

Il n'y a eu aucune injure de la part de Sa Majesté. Bien au contraire, les autorités Mnibétaines furent courtoises et hospitalières avec M. le Président.

Vous n'êtes pas trés sociologue M. Mirov, et ne savez pas lire entre leslignes. Il y a, caché derrière un manque d'ouverture d'esprit, une autre raison à la volonté Mnibétaine de ne pas avoir de relations avec Ukvos, car un pays démocratique est une menace pour l'ordre établi. Bien que je n'approuve pas cela.

Encore une fois calme Raspoutine dit:

S'il n'y a eu aucune injure de la part de sa majesté comme vous dites, j'aimerais savoir qu'est-ce qu'une injure pour vous monsieur Chimnay et leur courtoisie était hypocrite puisqu'à la première occasion ils ont insulté notre nation. De plus, s'ils ne veulent pas de relation avec nous qu'ils le disent, mais qu'ils ne nous insulte pas en le disant.[/b]

Dire qu'une nation est une démocratie est donc bel et bien une insulte ?

Non, nous accusé de donné trop de droit à notre peuple est une insulte suprême en Ukvos.

Agacé,le président se leva de sa chaise et dit:

Assez ! Nous avons entendue les deux partis, les débats sont donc finits ! Je suggère, pour ne pas tuer dans l'oeuf les tentatives de réconciliation, qu'on laisse passer cet incident. Je suis d'accord evec M. Mirov, oublions le mnibet, il est trop différent d'Ukvos. Toutefois, je dois avouer que Chinmay nous en avais avertis.

D'un autre coté, nous avons eu des relations diplomatiques avec le Belondor qui est aussi une monarchie. Le manque d'ouverture d'esprit du mnibet est selon moi la principale raison du désastre diplomatique. Je rappele que l'état ukvois était prêt, malgré nos différences, à apprendre à connaitre l'autre culture pour pouvoir avoir des relations diplomatiques.

Raspoutine Mirov commenca a rire, regarda le président avec un immense sourir et dit au Président:

Je suis désolers de tout ce grabuge et je vous remercie.

Le débat étant terminé, le ministre sortie ayant beaucoup de travail depuis que la flotte avait été déployé. Les escarmouches avec des petits bâteaux avait lieux à tous les jours et de nombreux bâteaux engorgeait le port de Marinekrav depuis l'intervention de la flotte.

M. le Président, puis-je vous faire remarquer que la différence n'est tant pas le régime en lui-même que son, si j'ose dire, niveau démocratique. Car si certes le Belondor est une monarchie, c'est une monarchie parlementaire, alors que le Mnibet est une monarchie absolue.